pour faire court parce qu'en ce moment je suis à fond et épuisée ;)
voici 2 tableaux d'environ 100 x 100 cm
j'appelle cette série " mes rêveries"
peut-être ce sera juste une série de 2 ... hi hi, on verra !
pour faire court parce qu'en ce moment je suis à fond et épuisée ;)
voici 2 tableaux d'environ 100 x 100 cm
j'appelle cette série " mes rêveries"
peut-être ce sera juste une série de 2 ... hi hi, on verra !
la plastique et le plastique sont deux choses bien distinctes
alors j'ai tenté un assemblage ... sur feutre of course !
ma Galeriste belge Sabine m'a annoncé il y a quelques jours qu'elle avait un cancer
assez grave et devait fermer sa galerie ...
je suis donc partie la semaine dernière tout récupérer, c'est vraiment dommage
j'aimais cet endroit où les pièces étaient arrangées avec gôut et Sabine est quelqu'un de chouette et
j'espère vraiment qu'elle va guérir.
donc pour ne pas avaler 2000 km d'un coup,
j'ai passé 2 jours à Paris à déambuler d'expo en expo et j'ai découvert au Musée d'Art Moderne de la ville de Paris, Anita MOLINERO ...... un choc !
j'en ai mal dormi plusieurs nuits
et
le fil du temps je suis sûre racontera l'influence sur mon travail
Le changement est déjà dans ma tête ;) mais évidement va nécessiter un temps de recherche
... quelques premiers essais
cette pièce est en pleine mutation ... on verra dans quelques jours
... dans un souffle je me remets au renard pour le court-métrage
et pas à pas avec la réalisatrice, j'affine sa demande
Avec Éric Démelis qui a co-peint le mur avec les djeuns
je savais que ce serait pas facile alors j'ai tardé, tardé
et puis il faut s' y atteler et un lundi, c'est bien !
vraiment pas facile l'exercice ...
et ça ressemble à rien au départ
je lui voulais un air agressif, il a un air moqueur
Souffle
c'est le titre du court-métrage pour lequel je dois esquisser un renard
alors à force de le retourner dans ma tête, ce matin je l'ai attaqué
... je suis pas satisfaite mais il faut que je le laisse reposer ... et moi aussi
bon week-end !
les jours se suivent sans se ressembler
mon travail s'empreint de la mélancolie du temps
cette autre part de moi-même, effaçable,
dans le ruissellement de la pluie
qui lave toute trace
lessive jusqu'à la transparence
... perpette la lutte intérieure
exister
et puis tu coiffes le chapeau du fou ...
Il envahit tes cheveux
ton citron
ta houpette
tu es prête !